Ce que vous vivez (exemples) :

​

• Vous faites passer les besoins de l'autre avant les vôtres. Vous faites en sorte d'être indispensable à l'autre en étant hyper serviable et parfait. Peut-être avez-vous choisi une profession où vous pouvez naturellement tenir ce rôle.

• Vous idéalisez autrui. Ce qui créé des désillusions.

• Il vous est difficile de prendre une décision seul(e).

• Vous tolérez des choses normalement inacceptables (humiliations, violence...). Les personnes mal centrées sont tentées d'abuser de vous, au niveau professionnel, "amical" ou sexuel.

• Vie sentimentale : crainte permanente que votre partenaire vous quitte. Vous épiez votre téléphone en permanence à l'affut de messages. L'éloignement physique vous est insupportable. Et vous aimeriez que l'autre réponde à tous vos besoins affectifs. Excès de stress, anxiété, jalousie, déceptions, débordements émotionnels, maux de tête ou d'estomac, tensions musculaires... Ou à l'inverse vous évitez l'investissement affectif dans vos relations afin de ne pas en souffrir. Dans tous les cas, une hypersensibilité sous-jacente.

• Vie professionnelle : vous sollicitez beaucoup l'avis de vos collègues et surtout de votre hiérarchie. On peut vous reprocher un manque d'autonomie. Vos difficultés dans votre vie privée affecte votre capacité de concentration, votre confiance en vous. Vous avez du mal à prendre votre place. En entreprise, vos collègues ou votre hiérarchie sont facilement tentés de s'approprier le fruit de votre travail sans vous citer, vous avez des difficulté à gravir les échelons. Vous avez le syndrome de l'imposteur.

• ​Vous êtes en thérapie depuis des années et presque rien n'a changé.

Les problèmes qui peuvent vous empêcher d'avancer :

​​​

• Vous êtes insécurisé(e) en raison d'une faible estime de vous, souvent liée à un traumatisme ou à un défaut d'attachement affectif sécurisant durant l'enfance ou l'adolescence, à un événement vécu comme un abandon...

• Votre "enfant intérieur" prend le contrôle de votre relation.

• Un cercle vicieux s'est installé au fil des années.

• Relier votre comportement et vos émotions à ce que certains nomment une "dépendance affective" (diagnostic que seul un psychiatre est habilité à faire) peut dans une certaine mesure vous donner des éléments d'explication et vous déculpabiliser un peu, mais peut a contrario aussi vous inciter à vous identifier comme étant un(e) dépendant(e) affectif, et cette identité vous freine dans le changement. Il y a d'ailleurs des approches, comme l'approche stratégique-constructiviste (Ecole de Palo Alto, Giorgio Nardone etc...) qui récusent les opérations de classification en troubles psychiques.

• Parler et reparler des traumatismes à l'origine de votre attitude peut vous retraumatiser et "ancrer" ces souvenirs douloureux davantage.

Pour vous donner les moyens de sortir de cette situation, je vous propose :

 

1. D'apaiser le stress et clarifier l'esprit au plus vite en cas de crise. Et vous donner un outil simple pour mettre à distance en quelques secondes ce qui pose problème quand il se présente.

2. De percevoir votre comportement comme un mécanisme qui au départ vous veut du bien. Et qui est aujourd'hui une formidable opportunité de vous remettre en lien avec votre source intérieure.

3. De désamorcer le conflit intérieur entre la part de vous qui veut votre évolution et la part de vous qui vous maintient dans le passé.

4. Revisiter l'histoire de votre vie pour renverser l'image négative que vous avez de vous-même.

5. Nettoyer, reprogrammer les épisodes du passé afin d'en diminuer l'empreinte sur votre vie actuelle.

6. Pardonner ce qui peut l'être.

7. Vous ancrer et vous recentrer sur votre autonomie affective et spirituelle, la ressentir dans votre corps.

 

Nous déterminerons un nombre de séances avec des objectifs pour ces séances. 1 à 2 séances d'1h30 peuvent suffire à enrayer, au moins temporairement, le mécanisme, et à s'apaiser. Une dizaine de séances sont recommandées pour vous renforcer.